Arts littéraires

Je m’actualise sur les générations sociologiques

Aujourd’hui, je lis l’article 10 minutes, et plus, par jour de perdus à attendre qu’une application réponde… qui ne m’étonne absolument pas sur le fond.

En effet, qui n’a jamais entendu un vendeur par exemple s’excuser (ou s’énerver) par ce que l’ordinateur est lent, parce que l’imprimante ne répond pas etc…  Je ne citerai pas de nom mais j’en ai un paquet qui me viennent en tête.

Bref, ce n’est pas un scoop.

Si je parle de cet article en fait c’est juste pour un mot que je ne connaissais pas: millennial:

“77% des millennials affirment qu’une performance d’application sous-optimale affecte leur capacité à donner le meilleur d’eux-mêmes, comparé à seulement 50% des baby-boomers et 72% des générations X. La moitié des Millennials interrogés disent avoir arrêté d’utiliser une application parce qu’elle fonctionnait trop lentement, soit beaucoup plus que les utilisateurs des autres tranches d’âge. Plus des trois-quarts des millennials disent être occasionnellement ou constamment pénalisés par des retards lors de requête ou de transmission d’informations avec un logiciel métier, comparé à 60% pour les baby-boomers.”

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Aïe, ma tête…

Vous connaissez surement le principe qui veut que  le “ê” remplace souvent un ancien “s” , mais que l’on retrouve celui-ce “s” dans d’autres mots de la même famille :

  • Fête =>feste => festoyer
  • Fenêtre => fenestre =>defenestrer
  • Forêt => forest =>forestier
  • Hôpital => ospital =>hospitalier

(ce qui peut être un bon moyen mnémotechnique pour se souvenir s’il faut un ê )

J’en étais à expliquer cela quand on m’a posé cette colle:

“et pour “tête” ? T’as un mot de la même famille ?”

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Une journée mondiale /internationale /européenne /… bien remplie

Spéciale dédicace à Odile.

Qui n’a pas vu au moins une fois qu’aujourd’hui c’était la journée mondiale de la procrastination ?

PROCRASTINATION, subst. fém.
Littér. Tendance à différer, à remettre au lendemain une décision ou l’exécution de quelque chose. Synon. ajournement, atermoiement. Cette habitude, vieille de tant d’années, de l’ajournement perpétuel, de ce que M. de Charlus flétrissait sous le nom de procrastination (PROUST, Prisonn., 1922, p.86).
REM. 1. Procrastiner, verbe trans., littér., rare. Remettre quelque chose au lendemain. Synon. ajourner. Je remercie à présent chacun des contretemps qui m’empêchèrent d’approfondir ma connaissance de la forêt rambolitaine: la paresse, l’âge, le penchant à procrastiner, et aussi le plaisir que j’eus d’habiter trop peu de temps (…) un de ses sommets (COLETTE, Pays connu, 1949, p.8). 2. Procrastinateur, subst. masc., hapax. Les atermoyeurs, procrastinateurs et lambins de mon acabit sont justement de ceux qui ne finissent rien et même ne commencent pas davantage (AMIEL, Journal, 1866, p.455).
Prononc. et Orth.: []. Att. ds Ac. 1935. Étymol. et Hist. 1520 (G. MICHEL, tr. Suétone, I, 17 vo ds HUG.), très rare av. le XIXes. où il est empl. p.iron. Empr. au lat. procrastinatio «ajournement, délai». Bbg. DARM. 1877, p.183. GOHIN 1903, p.262 (s.v. procrastiner).”

Oui, mais pas que en fait: …continuer la lecture de Une journée mondiale /internationale /européenne /… bien remplie